| Titre : | Hôtel des deux mondes |
| Auteurs : | Eric-Emmanuel Schmitt, Auteur |
| Type de document : | texte imprimé |
| Editeur : | Albin Michel, 1999 |
| Collection : | Théâtre |
| ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-226-10962-0 |
| Format : | 185 p. |
| Langues: | Français |
| Résumé : | Aucun client ne sait comment il est arrivé à l'Hôtel des deux mondes. Personne ne sait quand il pourra en repartir.C'est un lieu dirigé par un docteur étrange... |
| Nature du document : | Fiction |
| Genre : | théâtre |
| Thème de fiction : | fantastique |
Exemplaires (1)
| Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
|---|---|---|---|---|---|
| 11349 | 821.133 SCH | Livre | CDI | Fiction | Disponible |
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Le 31/08/2023
J'ai beaucoup aimé ce livre. Il fait désormais partie de mes favoris. Cela s'explique par le fait que l'histoire soit accrocheuse dès le début. En effet, dés les premières pages, nous savons où l'on se trouve car tout est expliqué. Eric-Emmanuel Schmit aurait pu faire le choix de laisser cet endroit suspect, sans donner trop de détails. Mais il a décidé de raconter une histoire autour de ce lieu imaginaire et assez mystérieux : une histoire amicale, ou pas, entre les personnages et parfois même romantique pour le cas de Laura et Julien. Cette histoire d'amour nous fait vibrer et en même temps nous fait vivre le sentiment amoureux si intense que partagent les deux personnages. Cette pièce m'a permis de rentrer dans leurs têtes et de faire face à une situation très compliquée : la mort ou la vie. En effet c'est un peu angoissant d'attendre et de ne pas savoir s'ils vont sortir du coma et rejoindre la Terre ou, au contraire, ne pas s'en sortir et monter au ciel. Cette pression persiste à chaque fois que l'ascenseur arrive et que la flèche s'allume : le suspense est grand quand un personnage occupe la cage d'ascenseur car nous sommes dans l'impatience et l'incertitude de savoir où va partir la victime. A contrario, j'ai trouvé la pièce trop courte : ça manquait d'une suite. Je n'aime pas non plus quand il n'y a pas de fin et c'est le cas. l'absence d'actes et de scènes m'a interpelée car une pièce de théâtre en est toujours composée. Il n'y avait guère de chapitres non plus.
