Résumé :
|
18 exils pour raconter presque toute une vie, 18 exils comme forme d'autobiographie.
Avec son ton unique, fait de rire et d'autodérision pour mieux dissimuler la tristesse et les coups du sort, Susie Morgenstern dresse le portrait de bien des femmes : de la naissance à la puberté en passant par la découverte de la féminité et de la maternité sans oublier la force de la sororité. Son propos s'élargit bien naturellement à la judéité, marqueur incontournable de son existence, à sa relation avec l'école, souvent à géométrie variable, et bien sûr à l'écriture, les affres de la création, la chaleur du monde littéraire, des éditeurs aux lecteurs et enfin l'amour. Celui qui illumine une vie et la brise lorsqu'il disparait.
|